Alléluia !

« Un nouveau venu sur la planète des donneurs de leçon. »

Nouveau, pas vraiment puisque Max-Henri Boulois roule sa bosse de communiquant depuis la fin des années 50 (Carte de presse n° 20131).

Pour Hassan II à qui il annonçait la fin du droit divin, c’est un iconoclaste, un touche-à-tout génial pour Pierre–Christian Taittinger, un visionnaire pour Chirac. Son indépendance ne lui a pas valu les faveurs des médias et pourtant, musique, cinéma, livres, tout ce qu’il touche marche.

Tellement multicarte que même Google s’y perd. Pour avoir une vision d’ensemble du personnage il faut cliquer, dans le désordre : Max B, Max Boulois, Max-H Boulois ou Max-Henri Boulois son patronyme complet, les moteurs de recherche ont du mal à réaliser qu’il s’agit d’une seule et même personne.

• Sport : Le petit sauteur prodige des années 60, c’est lui
• Reportages : « J’ai retrouvé le corps de Lumumba », c’est lui !
• Cinéma : Othello avec Tony Curtis, c’est lui !
• Musique : Bananaticoco, vinyle culte de l’afro rock, c’est lui !
• Littérature : « Tous pourris, tous dopés… »  c’est lui !
• Événementiel : Le Cinquantenaire de l’UNESCO, c’est lui !

Pour un portrait croisé plus précis, interrogez ses pairs :

Alain Mimoun ou Michel Jazy, Michel Drucker ou Thierry Rolland, Gérard Klein ou Stéphane Collaro, Johnny ou Nicoletta, Alain Madelin ou Jacques Chirac, Stevie Wonder ou Julio Iglesias, Marc Cerrone ou Placido Domingo.

Il lui manquera les témoignages et l’amitié de Philippe Seguin, Laurent Fignon, Carlos, René Le Goff, Pierre-Christian Taittinger, Tony Curtis, Joseph Pasteur…

« …Ce livre exprime une vision et un engagement qui rallieront tous les partisans d’une société plus équilibrée et plus ouverte.». C’est ce que Jacques Chirac, alors Président de la République, en pleine possession de ses moyens, a écrit à propos d’un des ouvrages de Max-Henri Boulois qui se fait le plaisir de l’appliquer à l’ensemble de son œuvre.